- EAN13
- 9782253093725
- Éditeur
- Le Livre de poche
- Date de publication
- 30/01/2012
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
Édition illustrée et enrichie (Illustrations de Gustave Doré, introduction,
notes, chronologie et bibliographie)
« Il était une fois un roi et une reine… », « il était une fois une petite
fille de village… » Il suffit de cette clé magique pour que s’ouvre à nous le
monde où paraissent tour à tour la belle au bois dormant, le petit chaperon
rouge, la barbe bleue ou Cendrillon. Perrault puise dans le folklore ancien
pour nous conter dans des récits courts et alertes des histoires qui nous
éloignent délicieusement du monde, avant que la morale finale nous y
reconduise. Des contes de fées ? Sans doute. Mais, autant que le merveilleux,
ce qui nous enchante, c’est le naturel et la savante simplicité d’un art
d’écrire qui, à chaque page, séduit notre imagination.
D’abord parus séparément en 1694 et 1697, ce n’est qu’à la fin du XVIIIe
siècle que les contes en vers et en prose seront réunis en un même volume,
signe que l’engouement qu’ils avaient suscité du vivant de Perrault ne se
démentait pas, en dépit du jugement sévère des gens de lettres, à l’époque des
Lumières, pour ces puériles bagatelles. Mais le public le plus large demeurait
fidèle à ces contes — et ce public, c’est aujourd’hui nous dont l’esprit
d’enfance ne s’est pas perdu.
Édition de Catherine Magnien.
notes, chronologie et bibliographie)
« Il était une fois un roi et une reine… », « il était une fois une petite
fille de village… » Il suffit de cette clé magique pour que s’ouvre à nous le
monde où paraissent tour à tour la belle au bois dormant, le petit chaperon
rouge, la barbe bleue ou Cendrillon. Perrault puise dans le folklore ancien
pour nous conter dans des récits courts et alertes des histoires qui nous
éloignent délicieusement du monde, avant que la morale finale nous y
reconduise. Des contes de fées ? Sans doute. Mais, autant que le merveilleux,
ce qui nous enchante, c’est le naturel et la savante simplicité d’un art
d’écrire qui, à chaque page, séduit notre imagination.
D’abord parus séparément en 1694 et 1697, ce n’est qu’à la fin du XVIIIe
siècle que les contes en vers et en prose seront réunis en un même volume,
signe que l’engouement qu’ils avaient suscité du vivant de Perrault ne se
démentait pas, en dépit du jugement sévère des gens de lettres, à l’époque des
Lumières, pour ces puériles bagatelles. Mais le public le plus large demeurait
fidèle à ces contes — et ce public, c’est aujourd’hui nous dont l’esprit
d’enfance ne s’est pas perdu.
Édition de Catherine Magnien.
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