- EAN13
- 9782742754366
- ISBN
- 978-2-7427-5436-6
- Éditeur
- Actes Sud
- Date de publication
- 02/03/2005
- Collection
- LITTERATURE RUS
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 19 x 10 x 1 cm
- Poids
- 105 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- russe
- Fiches UNIMARC
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Y a-t-il du café après la mort ? suivi de Les Moineaux
De Marina Arturovna Višneveckaâ
Traduit par Joëlle Dublanchet
Actes Sud
Litterature Rus
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En deux nouvelles «Y a-t-il du café après la mort ?» et« Les Moineaux» Marina Vichnevetskaïa impose sa vision du monde. Une vision noire et désespérée, où l'être humain atteint le plus profond de la déréliction.
Dans «Y a-t-il du café après la mon ?» un homme joue, comme il en a l'habitude, la comédie de la mort devant sa femme. Mais, cette fois, il reste prostré à terre, agonisant, sans qu'on sache jamais si la farce a mal tourné.
Dans «Les Moineaux», une jeune femme, mère de deux enfants qui lui ont été retirés, tombée au plus bas, part le matin se prostituer. Elle roule littéralement dans la boue jusqu'à un minuscule miracle...
L'adjectif "beckettien" serait le plus approprié pour tenter de rendre compte de cette atmosphère et de cette écriture précise, sans pathos, qui disent l'humaine condition.
André Nemzer, le grand critique russe, écrivait à propos de Marina Vichnevetskaïa : "Je ne sais pas si elle écrira un jour un roman (...), mais, en tout cas, elle démontre, avec quelques autres, combien le genre de la nouvelle est encore riche d'un potentiel esthétique et éthique."
Dans «Y a-t-il du café après la mon ?» un homme joue, comme il en a l'habitude, la comédie de la mort devant sa femme. Mais, cette fois, il reste prostré à terre, agonisant, sans qu'on sache jamais si la farce a mal tourné.
Dans «Les Moineaux», une jeune femme, mère de deux enfants qui lui ont été retirés, tombée au plus bas, part le matin se prostituer. Elle roule littéralement dans la boue jusqu'à un minuscule miracle...
L'adjectif "beckettien" serait le plus approprié pour tenter de rendre compte de cette atmosphère et de cette écriture précise, sans pathos, qui disent l'humaine condition.
André Nemzer, le grand critique russe, écrivait à propos de Marina Vichnevetskaïa : "Je ne sais pas si elle écrira un jour un roman (...), mais, en tout cas, elle démontre, avec quelques autres, combien le genre de la nouvelle est encore riche d'un potentiel esthétique et éthique."
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