L'écriture d'un deuxième roman est souvent une épreuve décisive. C'est chose faite pour Victor Jestin. Après La Chaleur, paru en 2019, L'homme qui danse, paru chez le même éditeur Flammarion, confirme une voix singulière. La sensibilité et la sincérité du jeune auteur de 28 ans s'expriment ici plus que jamais et touchent au coeur. Son personnage Arthur est un garçon complexé dont l'adolescence est un parcours du combattant. La première fois qu'il entre dans la boîte de nuit locale où toute la jeunesse se réunit, l'expérience est un vrai fiasco. Cependant, Arthur persévère et tente de remédier à sa timidité maladive. Dès lors, il ne vit que dans l'attente de ces soirées de week-end où ses talents de danseur se confirment et éclatent aux yeux de tous. Au quotidien comme sur la piste de danse, Arthur cherche sa place. Son besoin d'affection est criant et maladroit. Le temps passant, l'oiseau de nuit craint de plus en plus ce moment où la musique s'arrête et les lumières se rallument... Dans ce portrait poignant d'une solitude, Victor Jestin croque avec tendresse et justesse l'angoisse, la vulnérabilité et la masculinité malhabile. Il est difficile d'être soi et de n'être que soi, Arthur en fait la cruelle et courageuse expérience.

Sébastien

Lorsque son frère l'invite pour ses fiançailles dans un ancien Sanatorium transformé en hôtel de luxe, Elin Warner, inspectrice ne pense qu'à une chose connaître enfin la vérité sur leur passé...
Seulement, dans ces montagnes gelées, une tempête est si vite arrivée. Une avalanche de meurtres aussi...
Un coup de cœur glaçant.

Halana

Écrire la rue, écrire sur la rue semble une évidence dans la littérature tant ce lieux par sa fonction de passage, de transition même, sert les récits. Dans nos journaux quotidiens, elle est omniprésente, le présentateur, la présentatrice nous informe, la foule qu'elle soit en joyeuse ou en colère se manifeste, elle nous indique l'endroit, le moment du reportage. Nous même l'empruntons chaque jours, plusieurs fois.
La rue est un lieu omniprésent, obligatoire dans nos vies, pourtant, nous ne nous arrêtons jamais vraiment sur son origine, son but s'il en est un. La rue est une évidence.
C'est cette évidence que vient questionner cet essai dirigé par Danielle Tartakowsky. Ce livre propose un panorama de la rue, des rues en ce qu'elles ont de multiples, leur fonctionnement est analysé, leurs constructions et leurs enjeux sont ici montrés et chaque nouveau passage nous expose une nouvelle facette insoupçonnée de la rue.
De l'antiquité à nos jours, cet ouvrage nous livre un regard historique sur les enjeux monumentaux que compte ce lieu qui nous est si familier.
La somme des recherches présentées dans ce livre, donne des clés de compréhensions aux lecteurs et lectrices à travers une écriture minutieuse, précise et travaillée, le tout accompagné par une riche iconographie.
Un véritable coup de cœur pour cet essai historique qui soulève les enjeux de la rue.

Léo

Plongez avec "Friday" dans un polar à la frontière du fantastique, où le mystère et le suspense se mêlent aux légendes anciennes.
Un premier tome qui plante un décor riche avec des personnages attachants et saisissants. Une très belle promesse pour la suite !

Caroline

Voilà une pépite qui ne manquera pas de faire parler d'elle !
Une superbe claque !

Caroline