Journal d'une femme noire
EAN13
9782371200234
ISBN
978-2-37120-023-4
Éditeur
Éditions du Portrait
Date de publication
Nombre de pages
150
Dimensions
21 x 14,4 x 0,1 cm
Poids
1 g
Langue
français
Langue d'origine
anglais
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Journal d'une femme noire

Éditions du Portrait

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“Les textes de Kathleen Collins prouvent qu’elle était une artiste polyvalente, dotée d’un talent extraordinairement original, singulier et pluriel. Tout simplement une des meilleures dans la création littéraire et cinématographique. ” The New Yorker- Février 2019

Dans une société américaine à peine affranchie de ses lois racistes, les Afro-Américains, en exerçant leurs droits civiques, peuvent enfin accéder à leur vie. Cette nouvelle liberté suscite une exaltation et un bouillonnement racontés par Kathleen Collins à travers les relations amoureuses et filiales d’une femme noire, installée à New York.

Mais être soi, c’est inévitablement faire l’expérience de la différence, d’une autre vie, et parfois d’une autre couleur de peau. C’est s’exposer à des réactions infimes, démesurées et ressentir le poids de l’Histoire qui pèse silencieusement sur chaque existence. Kathleen Collins plonge le lecteur dans ces interactions, éminemment politiques et intimes.

Malicieux et pétillants, sincères et vivants, ces écrits livrent une critique du discours blanc dominant tout en dénonçant les idéologies afrocentristes. Le féminisme universaliste et précurseur de Kathleen Collins se distingue de celui qui se pense en fonction du genre, de l’orientation sexuelle ou de la couleur de peau. On entend l’écho des voix de James Baldwin, de Ralph Ellison et de Richard Wright.

Journal d’une femme noire réunit des nouvelles, des lettres, des fictions et des extraits de journaux. L’effet miroir entre la fiction et la non fiction est une formidable introduction à l’oeuvre de cette autrice majeure célébrée par le Women Prize for fiction en 2019. Les écrits de Kathleen Collins ont été publiés à titre posthume en 2015 et 2016.

Kathleen Collins était engagée dans le mouvement des droits civiques. Après des études en philosophie et religion à la prestigieuse université de Skidmore, elle obtient une bourse pour compléter son cursus à la Sorbonne. Elle a enseigné l’écriture à l’université de New York et a signé un film culte Losing Ground sorti en 1982.


Traduit de l’américain par Hélène Cohen et Marguerite Capelle
Couverture ©Tylor Durand
«Éblouissant .... dans ses nouvelles, nous découvrons une écriture habile, un regard affûté, mordant notamment quand elle fait apparaître le politiquement correct.» New York Times book Reviews

« L’oeuvre de Collins va être, sans aucun doute, aujourd’hui canonisée mais quel dommage que cela n’ait pas été fait plus tôt. » Slate.com- 2017

« La plus belle redécouverte de 2015. Ce film révèle une des réalisatrices les plus puissantes et originales de son temps. Elle fut l’une des rares femmes noires à signer un long métrage dans les années 80. » The New Yorker 2017
“Les textes de Kathleen Collins prouvent qu’elle était une artiste polyvalente, dotée d’un talent extraordinairement original, singulier et pluriel. Tout simplement une des meilleures dans la création littéraire et cinématographique. ” The New Yorker- Février 2019

Dans une société américaine à peine affranchie de ses lois racistes, les Afro-Américains, en exerçant leurs droits civiques, peuvent enfin accéder à leur vie. Cette nouvelle liberté suscite une exaltation et un bouillonnement racontés par Kathleen Collins à travers les relations amoureuses et filiales d’une femme noire, installée à New York.

Mais être soi, c’est inévitablement faire l’expérience de la différence, d’une autre vie, et parfois d’une autre couleur de peau. C’est s’exposer à des réactions infimes, démesurées et ressentir le poids de l’Histoire qui pèse silencieusement sur chaque existence. Kathleen Collins plonge le lecteur dans ces interactions, éminemment politiques et intimes.

Malicieux et pétillants, sincères et vivants, ces écrits livrent une critique du discours blanc dominant tout en dénonçant les idéologies afrocentristes. Le féminisme universaliste et précurseur de Kathleen Collins se distingue de celui qui se pense en fonction du genre, de l’orientation sexuelle ou de la couleur de peau. On entend l’écho des voix de James Baldwin, de Ralph Ellison et de Richard Wright.

Journal d’une femme noire réunit des nouvelles, des lettres, des fictions et des extraits de journaux. L’effet miroir entre la fiction et la non fiction est une formidable introduction à l’oeuvre de cette autrice majeure célébrée par le Women Prize for fiction en 2019. Les écrits de Kathleen Collins ont été publiés à titre posthume en 2015 et 2016.

Kathleen Collins était engagée dans le mouvement des droits civiques. Après des études en philosophie et religion à la prestigieuse université de Skidmore, elle obtient une bourse pour compléter son cursus à la Sorbonne. Elle a enseigné l’écriture à l’université de New York et a signé un film culte Losing Ground sorti en 1982.


Traduit de l’américain par Hélène Cohen et Marguerite Capelle
Couverture ©Tylor Durand
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