- EAN13
- 9782930333335
- ISBN
- 978-2-930333-33-5
- Éditeur
- M.E.O.
- Date de publication
- 07/09/2010
- Collection
- HISTOIRES DE
- Nombre de pages
- 308
- Dimensions
- 16 x 2,4 cm
- Poids
- 565 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Né en 1938 en Herzégovine, écrivain et scénariste revendiqué à la fois par les littératures serbe, croate, bosnienne et monténégrine, Mirko Kovač a publié de nombreux romans et recueils de nouvelles, souvent condamnés par la censure communiste pour leur côté sombre et farouchement individualiste. Après l’avènement de Milošević, il a dû fuir Belgrade pour la Croatie en raison de ses positions antinationalistes et pour avoir prédit l’apocalypse dans laquelle allaient plonger les peuples de Yougoslavie (notamment, en 1992, dans une interview prophétique publiée par Libération.)
La “ville dans le miroir”, c’est Dubrovnik, la prestigieuse, qui, dans son enfance, exerçait sur l’écrivain une fascination quasi mystique, mais aussi l’ogresse qui, régulièrement, “grâce à quelque sorcellerie, capturait et séquestrait” son père, commerçant pauvre, bohème et philosophe, quand mère et enfant s’alliaient pour survivre.
Roman autobiographique, ce “nocturne familial” dans les premières années de la Yougoslavie titiste, à la fois tendre, mélancolique et sans complaisance, infiltré de brèves réflexions sur la littérature et l’existence, est empreint de la pensée que “notre vie n’aura pas été ce que nous avons vécu, mais ce dont nous nous souvenons.”
Un écrivain majeur fouille ses racines en quête des sources de son inspiration.
Les œuvres de Mirko Kovač ont été traduites dans de nombreuses langues et deux de ses romans cultes ont déjà paru en français, aux éditions Rivages.
Le présent ouvrage a obtenu le prix Vladimir Nazor du meilleur roman croate de l’année, le prix August Šenoa de la Matica hrvatska, le prix Meša Selimović de la Ville de Tuzla pour le meilleur roman serbe, croate, bosnien et monténégrin, et le prix “13 juillet”, plus haute récompense littéraire du Monténégro.
Entre autres distinctions internationales, Mirko Kovač est titulaire du prestigieux prix Herder, au palmarès duquel il figure au côté d’auteurs comme Milan Kundera ou Imre Kertész).
La “ville dans le miroir”, c’est Dubrovnik, la prestigieuse, qui, dans son enfance, exerçait sur l’écrivain une fascination quasi mystique, mais aussi l’ogresse qui, régulièrement, “grâce à quelque sorcellerie, capturait et séquestrait” son père, commerçant pauvre, bohème et philosophe, quand mère et enfant s’alliaient pour survivre.
Roman autobiographique, ce “nocturne familial” dans les premières années de la Yougoslavie titiste, à la fois tendre, mélancolique et sans complaisance, infiltré de brèves réflexions sur la littérature et l’existence, est empreint de la pensée que “notre vie n’aura pas été ce que nous avons vécu, mais ce dont nous nous souvenons.”
Un écrivain majeur fouille ses racines en quête des sources de son inspiration.
Les œuvres de Mirko Kovač ont été traduites dans de nombreuses langues et deux de ses romans cultes ont déjà paru en français, aux éditions Rivages.
Le présent ouvrage a obtenu le prix Vladimir Nazor du meilleur roman croate de l’année, le prix August Šenoa de la Matica hrvatska, le prix Meša Selimović de la Ville de Tuzla pour le meilleur roman serbe, croate, bosnien et monténégrin, et le prix “13 juillet”, plus haute récompense littéraire du Monténégro.
Entre autres distinctions internationales, Mirko Kovač est titulaire du prestigieux prix Herder, au palmarès duquel il figure au côté d’auteurs comme Milan Kundera ou Imre Kertész).
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