Sans capote ni kalachnikov, Gagnant combat des livres 2019 Radio-Canada
EAN13
9782897124304
Éditeur
Mémoire d'encrier
Date de publication
Collection
Roman/Récit
Langue
français
Langue d'origine
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Sans capote ni kalachnikov

Gagnant combat des livres 2019 Radio-Canada

Mémoire d'encrier

Roman/Récit

Indisponible
D’une ironie délicieuse et d’un ton décapant, le livre de Blaise Ndala est
aussi une réflexion sensible et raisonnée sur notre société et ses travers. À
la fois courageux et ambitieux, Sans capote ni kalachnikov est un roman qui
pousse le lecteur à la réflexion et l’engage sur le point de vue moral. Le
style et la structure du livre, en tous points remarquables, font de ce roman
une œuvre singulière dont on se souvient longtemps après l’avoir lue. – Jury
du Prix littéraire Émergence 2019 de l’Association des auteures et auteurs de
l’Ontario français Autant on a craqué pour Dany Laferrière qui nous faisait
découvrir Haïti, autant on a craqué pour Kim Thúy qui nous faisait connaître
son Viêtnam, on a maintenant Blaise Ndala qui nous fait connaître son Congo,
son Afrique. Je veux rendre hommage à la beauté de ses mots, à la poésie de
ses phrases, à sa culture incroyable, mais accessible. – Marie-Maude Denis,
Radio-Canada Je conseille l’excellent livre de Blaise Ndala qui réussit le
tour de force de révéler le lien intraduisible entre ceux qui violent, eux-
mêmes en proie à une urgence mortifier qui leur pèse, les blesse et les
dépasse, et celles qui sont violées: leur détresse, leurs plaies et leur
colère impuissante. Ainsi que la place particulière de ceux qui en font un
commerce ou un spectacle, s’émeuvent à peu de frais, de loin, avec le recul. –
Hemley Boum, Jeune Afrique Blaise Ndala est un conteur extraordinaire, il
écrit d’une main habile, c’est un très grand écrivain à mon sens… – Réjean
Grenier, Ça parle au Nord, ICI – Radio-Canada Un roman vif et troublant
d’actualité qui dénonce, par le biais d’une cinéaste québécoise et de deux ex-
soldats rebelles dans l’Afrique des Grands Lacs, ” l’égo-charité ” et la
marchandisation de la misère. – Laila Maalouf, La Presse + Brillant et
incisif, Sans capote ni kalachnikov nous offre, contre les réponses de la
guerre, les questions de la paix : ” Ceux qui leur voulaient du bien
pouvaient-ils ignorer tout le mal que leur générosité engendrait ? ” – Yannick
Marcoux, Le Devoir Il y a ici une beauté de langue. On ne s’ennuie jamais dans
ce livre. C’est toujours très bon. – Anne Michaud, Radio-Canada/Les matins
d’ici Blaise Ndala plonge au cœur d’un conflit armé dans son deuxième roman
“Sans capote ni kalachnikov”. […] L’un des titres les plus attendus de la
rentrée littéraire. – Huffington Post Québec POURQUOI RECOMMANDEZ-VOUS CE
LIVRE À CEUX QUI NOUS DIRIGENT? Parce que vue par les travailleurs
humanitaires, les gouvernements donateurs ou les médias qui en parlent, l’aide
humanitaire ne peut-être que quelque chose de bien et d’altruiste. Or, Blaise
Ndala démonte complètement cette façon de voir les choses, et dénonce une
marchandisation de la misère et ceux qui en profitent, consciemment ou non. Il
ne s’agit pas ici, pour l’auteur originaire de la République démocratique du
Congo, aujourd’hui fonctionnaire fédéral au Canada, de nier l’utilité de
l’aide humanitaire, mais de lancer un sérieux avertissement à ceux qui
s’adonnent à ce qu’il appelle “l’égocharité”. – Philippe Marcoux, Les
incontournables de Radio-Canada
S'identifier pour envoyer des commentaires.