Nous ne trahirons pas le poème
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EAN13
9782897126469
Éditeur
Mémoire d'encrier
Date de publication
Collection
Poésie
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Nous ne trahirons pas le poème

Mémoire d'encrier

Poésie

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En traversant ce recueil, c’est le territoire infini de la poésie que nous
parcourons avec le poète. Il y a peu de choses qui ne soient pas nommées dans
ces vers intenses, humains, musicaux, tendre et violents comme l’histoire
l’est parfois… J’ai refermé ce livre avec un mot gravé au cœur, et pas le
moindre : liberté. – Josianne Létourneau, La librairie francophone Le poète
Rodney Saint-Éloi nous offre un recueil qui rend hommage au genre littéraire
qu’est la poésie […] Dans ce livre, l’auteur donne voix aux mots de ses
ancêtres, aux souffrances de centaines de migrants ainsi qu’à la sagesse de
ses aïeux. – Émilie Bolduc, Librairie Le Fureteur Je veux écrire un poème qui
ne trahisse / ni passé ni présent ni futur » nous prévient le poète. De cette
promesse découle un texte à s’appliquer comme un baume les jours où la
violence contemporaine se fait trop accrue. Entre les vers, comme toujours
avec Rodney Saint-Éloi, remplis de visions telluriques et de sensations à tous
vents se dessine un livre qui prend soin de ses lecteur.ices. – Alice
Lefilleul, Africultures On aime : sa générosité et sa passion pour la poésie.
Dans Nous ne trahirons pas le poème, on sent son cœur qui bat à travers ses
mots. Il y a une proximité avec les éléments : la terre, l’eau, les plantes,
les animaux. C’est vaste. Ça invite à réfléchir sur l’humanité, de nos
origines aux pieds qu’on pose sur la terre. – Amélie Grenier, « La poésie en
2019 : 5 recueils de qualité supérieure », Ici Artv, Radio-Canada En remontant
le courant des mots, le poète rembobine son histoire, et avec elle, celle de
l’humanité. La question des origines se mêle bien vite à celle de l’esclavage
et de la couleur de peau. Pour être le plus sincère possible, le poète revit
sa souffrance ainsi que celle des peuples opprimés et entreprend un voyage «
décolonial ». – Guéric Cardet, Maze Nous ne trahirons pas le poème. Et Rodney
Saint-Éloi ne le trahit pas, il le transcende. Dans ce recueil où la force de
la nature côtoie la douleur des hommes, la mer gronde, tandis que s’élève « la
complainte des rameurs ». Images d’amants exilés, de migrants mourant sur le
Méditerranée, de réfugiés qui ne savent pas « ce que veut dire le mot refuge
»… – Natalia Wysocka, La Presse C’est à la rencontre de plusieurs êtres
rarement convoqués entre les pages d’un livre que nous convie l’écrivain
d’origine haïtienne dans Nous ne trahirons pas le poème, un recueil perméable
aux voix de ses ancêtres, à celles de ses « ami.e.s sans nom et sans visage »,
à celles de ces migrants qu’a avalés la Méditerranée, ainsi qu’à celle de sa
grand-grand-mère Tida. […] Objectif avoué: multiplier les récits et faire
apparaître des visages que l’on ne voit nulle part ailleurs afin que la
littérature, au Québec, devienne le creuset de toutes les expériences, pas
seulement de celle, blanche, de la majorité. – Dominic Tardif, Le Devoir Dans
cette lettre d’amour à l’art poétique, l’auteur de Je suis la fille du baobab
brûlé et grand manitou des éditions Mémoire d’encrier récidive avec un livre
tissé d’une parole vraie. – Jérémy Laniel, Voir Saint-Éloi fait en quelque
sorte le procès, dans son recueil, aux petitesses du pouvoir, à la guerre, aux
frontières, au système colonial avec énormément d’humanisme, mais aussi avec
un optimisme contagieux qui est propre aux gens qui n’ont pas été gagnés par
le cynisme. Ça fait évidemment un bien fou en cette période ou tout un chacun
se laisse un peu aller au désespoir et au cynisme. Il convoque vraiment
quelque chose de plus grand que nous et ce qui est intéressant, il cède la
parole, il tend l’oreille, aux anciens qu’il respecte beaucoup, mais aussi aux
enfants. Son recueil sème en nous l’insoumission et l’utopie. – Marie-Noëlle
Blais, Radio-Canada Abitibi De ses mots qui ont une âme, un souffle et un cœur
grand comme ça, Rodney Saint-Éloi retrace le parcours d’ancêtres, d’amoureux,
de migrants. De ceux qui ont connu la douleur de tout devoir laisser derrière.
Le poète raconte leurs revers, les rassure : « Ne t’excuse pas de demander à
l’horizon à quoi ressemble le chemin de tes souvenirs. – Natalia Wysocka, «
L’année québécoise en douze fictions choisies », Le Devoir
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