- EAN13
- 9782368460702
- ISBN
- 978-2-36846-070-2
- Éditeur
- Steinkis
- Date de publication
- 22/08/2018
- Collection
- ROMANS GRAPHIQU
- Nombre de pages
- 125
- Dimensions
- 28,7 x 22,3 x 1,7 cm
- Poids
- 854 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Guarani, les enfants soldats du Paraguay
De Agrimbau
Dessins de Gabriel Ippoliti
Traduit par Charlotte Marti
Steinkis
Romans Graphiqu
Autre version disponible
Retour sur l'une des plus terribles batailles de l'histoire de l'Amérique Latine : Parti réaliser des photos "ethnographiques", un Français devient le témoin d'une des plus terribles batailles d'Amérique latine, durant laquelle des enfants sont emmenés au front
Paraguay, hiver 1869. Pierre Duprat, photographe français, est venu photographier les jeunes amérindiennes nues de la tribu guaraní.
Malgré lui, il va assister à l'une des batailles les plus sanglantes de l'histoire de l'Amérique latine, connue sous le nom de bataille d'Acosta Nù. Les hommes ayant été décimés par les précédents combats, le maréchal paraguayen Francisco Solano López monte un contingent d'enfants soldats guarani. 3000 enfants combattent contre 20000 soldats brésiliens, argentins et uruguayens. Le massacre durera sept heures.
Venu en Amérique du Sud pour faire des jeunes beautés amérindiennes, un symbole d'érotisme colonial, il connait ses limites face aux horreurs de la guerre. Il lui faut maintenant témoigner...
Paraguay, hiver 1869. Pierre Duprat, photographe français, est venu photographier les jeunes amérindiennes nues de la tribu guaraní.
Malgré lui, il va assister à l'une des batailles les plus sanglantes de l'histoire de l'Amérique latine, connue sous le nom de bataille d'Acosta Nù. Les hommes ayant été décimés par les précédents combats, le maréchal paraguayen Francisco Solano López monte un contingent d'enfants soldats guarani. 3000 enfants combattent contre 20000 soldats brésiliens, argentins et uruguayens. Le massacre durera sept heures.
Venu en Amérique du Sud pour faire des jeunes beautés amérindiennes, un symbole d'érotisme colonial, il connait ses limites face aux horreurs de la guerre. Il lui faut maintenant témoigner...
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