- EAN13
- 9782358870405
- ISBN
- 978-2-35887-040-5
- Éditeur
- Manufacture de livres
- Date de publication
- 13/09/2012
- Collection
- DOCUMENTS
- Nombre de pages
- 212
- Dimensions
- 22,7 x 13,9 x 1,9 cm
- Poids
- 302 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 946.081092
- Fiches UNIMARC
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El Mexicano ! 1940, l'homme que le peuple espagnol a ainsi surnommé fait trembler, de Guadalajara à Valence et Barcelone, tout ce qui porte l'uniforme franquiste. Pour les autorités qui lancent à sa poursuite des forces considérables, ce n'est qu'un bandit ; pour les paysans et les ouvriers vaincus, El Mexicano est le vengeur, le justicier. Á la tête d'une troupe de guérilleros, ce jeune homme de vingt-trois ans, ancien chef d'une « section de la mort » des Brigades internationales, évadé des camps franquistes, défie les vainqueurs au nom de l'honneur et de la liberté. Son journal constitue le seul témoignage connu sur ce qu'il advint des combattants de la République après la victoire de Franco : la captivité, la répression, la guérilla.
Francisco Perez Lopez est né en 1916. En mars 1936, il s'engage à Barcelone dans les Brigades internationales. Incorporé à la XVe Brigade, celle des volontaires anglais, il est affecté aux sections spéciales, dites « de la mort », formées pour opérer des raids sur les arrières de l’ennemi. Après deux ans de captivité, il est condamné à trente ans de prison, mais s'évade. Rassemblant d'anciens soldats cachés chez les paysans ou dans la montagne, il reconstitue une « section de la mort ». À la tête de ses guérilleros , il va rejoindre la France en combattant. Il y parviendra en février 1941, après de durs combats. En France, il participe à la Résistance dans les rangs des F.T.P.
Francisco Perez Lopez est né en 1916. En mars 1936, il s'engage à Barcelone dans les Brigades internationales. Incorporé à la XVe Brigade, celle des volontaires anglais, il est affecté aux sections spéciales, dites « de la mort », formées pour opérer des raids sur les arrières de l’ennemi. Après deux ans de captivité, il est condamné à trente ans de prison, mais s'évade. Rassemblant d'anciens soldats cachés chez les paysans ou dans la montagne, il reconstitue une « section de la mort ». À la tête de ses guérilleros , il va rejoindre la France en combattant. Il y parviendra en février 1941, après de durs combats. En France, il participe à la Résistance dans les rangs des F.T.P.
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